Le politique réclame cohérence et courage, mais les faits révèlent souvent une hypocrisie de forme. Ce post vient en écho au précédent qui utilisait un exemple précis fondé sur l'actualité, pour montrer à quel point notre courage politique est limité par nos intérêts diplomatiques. Il s'agit avant tout de ménager et de ne pas froisser ceux avec qui nous entretenons des relations privilégiées et convenues. Nous devons souvent nous asseoir sur nos grands principes, ceux que nous déclinons souvent à certains, mais pas à tous, avec une virulence hautaine. Le silence est le prix à payer pour l'apaisement des relations internationales. Ravalons notre fierté, souvent déplacée, et, honorablement, faisons preuve d'une nécessaire et élémentaire humilité au lieu de tenter désespérément de maintenir l'illusion d'une quelconque influence internationale fondée sur la vertu.
samedi 25 mai 2013
dimanche 19 mai 2013
Courage et Cohérence.
Le droit de chacun à pouvoir réfléchir et s'interroger est une liberté aussi fondamentale qu'inaliénable. Nul ne saurait pouvoir la soustraire à qui que ce soit, même si notre temps cultive de plus en plus la déresponsabilisation implicite qui conduit fréquemment de pseudo-élites à penser pour nous mêmes.
Penser, c'est la base même de la réflexion, celle qui permet de s'interroger ou d'interroger ; penser c'est aussi progresser et avancer. Cela exige une démarche cohérente pour être crédible, et la cohérence exige le courage de ses opinions, de sa pensée.
Le politique se doit de mettre en cohérence la parole et les actes, pour justifier de ses convictions, et par là même honorer sa valeur. La conviction, c'est l'intime, le corpus de ce qui fait la valeur d'un être humain.
Principe évident, celui qui n'assumerait pas cela, jetterai irrémédiablement le discrédit et sur la fonction et sur la condition, par essence vertueuse, de la mission publique inhérente au politique. Haute question de dignité.
C'est pour cela que je m'interroge et que mon questionnement, parfaitement légitime, me conduit à interpeller Mme Najat Vallaud Belkacem, ministre des droits des femmes et porte-parole du Gouvernement, sur un sujet précis.
Penser, c'est la base même de la réflexion, celle qui permet de s'interroger ou d'interroger ; penser c'est aussi progresser et avancer. Cela exige une démarche cohérente pour être crédible, et la cohérence exige le courage de ses opinions, de sa pensée.
Le politique se doit de mettre en cohérence la parole et les actes, pour justifier de ses convictions, et par là même honorer sa valeur. La conviction, c'est l'intime, le corpus de ce qui fait la valeur d'un être humain.
Principe évident, celui qui n'assumerait pas cela, jetterai irrémédiablement le discrédit et sur la fonction et sur la condition, par essence vertueuse, de la mission publique inhérente au politique. Haute question de dignité.
C'est pour cela que je m'interroge et que mon questionnement, parfaitement légitime, me conduit à interpeller Mme Najat Vallaud Belkacem, ministre des droits des femmes et porte-parole du Gouvernement, sur un sujet précis.
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