C'en est fait des Cantonales de 2011, et les urnes ont rendu leur verdict hier soir, en accouchant d'un verdict des plus improbables, qu'aucun aubussonnais n'aurait pu prévoir à l'avance.
Le Canton d'Aubusson a basculé dans l'opposition, Michel Moine ayant été battu par Jean-Marie Massias d'une voix ! Incroyable pour chacun, imprévisible pour la majorité, qui il y a deux mois encore aurait volontiers parié sur une élection du maire d'Aubusson dès le premier tour. Un maire qui aura peut-être payé la suffisance avec laquelle il aura abordé cette campagne électorale, se gonflant des certitudes liées à un bilan médiocre. Un maire qui aura surement payé le cumul de mandats exercés, conférant certes toutes compétences et tous pouvoirs, mais également toutes responsabilités dans l'exercice de ces derniers.
L'analyse des résultats tend à prouver qu'en effet Michel Moine a souffert de la confusion des genres, celui-ci étant régulièrement battu dans les communes jouxtant Aubusson, et faisant partie de la Communauté de Communes. L'intercommunalité comme tendon d'Achille ? Très certainement. Une remise en question de la gestion municipale ? Egalement, après dix ans d'exercice d'un pouvoir, l'usure liée à l'impuissance et l'insuffisance a fait son oeuvre.
Sur la campagne en elle-même, le Maire d'Aubusson a sans doute péché par orgueil ne délivrant qu'un message aux allures d'auto-satisfaction, visant l'adoubement de la population, sans se soumettre à la remise en question personnelle, et à l'exercice critique de l'opinion publique. La grande leçon a retenir est que rien n'est jamais acquis d'avance, et qu'un fossé s'est peut-être creusé entre Michel Moine et la population, à partir d'une incompréhension quant aux besoins et aux attentes réels des aubussonnais, et au manque de considération qu'ils ont pu légitimement ressentir.
Nous passerons bien sûr au dessus des bassesses et attaques personnelles, cela fait partie du folklore local en matière politique.
Mais il serait réducteur de ne concevoir le résultat d'hier qu'au travers de la défaite de Michel Moine, car c'est bien Jean-Marie Massias qui a gagné l'élection cantonale. Certes d'une voix...Trop peu pour que la différence soit réellement marquée, diront certains. Mais il n'est pas de petites victoires, et celle d'hier a prouvé combien chaque voix pouvait être importante dans le cadre d'un scrutin, combien une seule voix pouvait suffire à faire la différence.
Jean-Marie Massias, qui a fait campagne sur l'indépendance de sa position a su rassembler davantage, délivrer un message d'optimisme, en rupture avec le fatalisme qui nous est d'habitude servi, a construit un programme cohérent et structurant pour notre canton. Il a trouvé dans son succès l'échos à la campagne de proximité qu'il a mené.
La victoire d'hier est également une victoire collective, celle d'un front d'opposition uni, par delà les clivages partisans, qui savent tout autant diviser dans les mauvais moments.
Oui, chacun a su se nourrir de ses différences pour construire un édifice commun bâti sur le socle du bon sens, dans l'intêrét général des habitants du canton.
Cette logique de rassemblement trans-partisan, clairement exprimée, notamment à l'occasion du meeting de Mr Massias, devant plus d'une centaine de personnes, par ma voix, a su trouver toute sa pertinence et toute sa cohérence à travers le remarquable travail d'équipe orchestré par les trois candidats d'opposition, dans le cadre de "l'Union pour l'avenir d'Aubusson".
L'union a clairement su faire la différence, a surfé sur cette vague de dynamisme insuflée au terme du premier tour.
C'est une victoire aussi pour nos valeurs de rassemblement et d'indépendance, bien loin du sectarisme partisan. Il est en effet incontestable que les voix rassemblées sous la candidature MoDem ont joué un rôle important et déterminant dans ce second tour.
Au delà de la victoire de Jean-Marie Massias, il s'est passé quelque chose de fort le 27 Mars 2011, que personne n'oubliera jamais, et qui, espérons-le saura construire l'avenir que la région d'Aubusson mérite. Car l'Union a prouvé que rien n'était impossible, que même les prétendus indéboulonnables peuvent être déboulonnés.
Mais il n'est déjà plus temps de se complaire dans la victoire. Du travail attend.
lundi 28 mars 2011
mercredi 23 mars 2011
Positionnement pour le second tour.
Avec un score de 10,14 % au premier tour des élections cantonales, il apparaît que je deviens source de convoitises, entre un Michel Moine dont le score apparaît décevant, et un Jean-Marie Massias qui a la possibilité de faire basculer le canton. J'assume dès lors pleinement le rôle d'arbitre qui m'est dévolu.
Dans ma déclaration à la presse, j'ai précisé que j'étais ouvert à un dialogue d'ouverture, démocratique, et invitais les deux candidats qualifiés pour le second tour du scrutin à venir me rencontrer pour un échange d'idées, et une confrontation de nos programmes pour arriver à une vision consensuelle dans l'intérêt du canton d'Aubusson.
Jean-Marie Massias a répondu à cette invitation, et j'ai pu nouer un dialogue cohérent avec lui. J'ai été assuré du respect de l'équilibre social de son programme, de la mise en avant de thématiques qui me sont chères, telles que la santé, la question agricole.
Par ailleurs, j'ai constaté son souci d'indépendance vis à vis des appareils politiques partisans, ce dernier plaçant l'intêrét général au centre de ses pré-occupations.
Je suis toujours en attente de rencontrer Michel Moine, qui semble lui se complaire dans un sectarisme partisan borné, au détriment du dialogue que je lui proposais.
Autant j'ai pu noter chez Jean-Marie Massias une vision prospective pour notre canton, autant je n'ai pas senti chez Michel Moine, au travers du contenu de sa circulaire, une vision d'avenir, un investissement structurel pour asseoir le développement de notre territoire.
Dès lors, ne m'estimant pas propriétaire des voix des électeurs qui ont porté leur suffrage sur ma personne, les laissant libres et responsables de leur choix, je dois néanmoins concéder offrir mon soutien à Jean-Marie Massias dans le cadre du second tour des élections cantonales.
Ce positionnement ne constitue en rien une droitisation de ma position, ne parlant pas non plus au nom de ma formation politique qui se réclame de l'indépendance vis à vis des deux grands partis. J'ai opéré ce choix en confrontant deux visions différentes pour notre canton, celle de l'immobilisme, et celle du changement et du renouveau.
Mon positionnement, pragmatique, n'engage que moi, non pas dans une démarche de rapprochement partisan, mais parce que j'ai senti davantage le souci de l'intérêt général chez Jean-Marie Massias, qui se veut dans ce scrutin au dessus des clivages traditionnels pour faire sortir notre canton d'Aubuson de l'ornière.
Charge à mes électeurs que je remercie encore pour le courage de leur investissement vis à vis de ma personne, de choisir librement.
Dans ma déclaration à la presse, j'ai précisé que j'étais ouvert à un dialogue d'ouverture, démocratique, et invitais les deux candidats qualifiés pour le second tour du scrutin à venir me rencontrer pour un échange d'idées, et une confrontation de nos programmes pour arriver à une vision consensuelle dans l'intérêt du canton d'Aubusson.
Jean-Marie Massias a répondu à cette invitation, et j'ai pu nouer un dialogue cohérent avec lui. J'ai été assuré du respect de l'équilibre social de son programme, de la mise en avant de thématiques qui me sont chères, telles que la santé, la question agricole.
Par ailleurs, j'ai constaté son souci d'indépendance vis à vis des appareils politiques partisans, ce dernier plaçant l'intêrét général au centre de ses pré-occupations.
Je suis toujours en attente de rencontrer Michel Moine, qui semble lui se complaire dans un sectarisme partisan borné, au détriment du dialogue que je lui proposais.
Autant j'ai pu noter chez Jean-Marie Massias une vision prospective pour notre canton, autant je n'ai pas senti chez Michel Moine, au travers du contenu de sa circulaire, une vision d'avenir, un investissement structurel pour asseoir le développement de notre territoire.
Dès lors, ne m'estimant pas propriétaire des voix des électeurs qui ont porté leur suffrage sur ma personne, les laissant libres et responsables de leur choix, je dois néanmoins concéder offrir mon soutien à Jean-Marie Massias dans le cadre du second tour des élections cantonales.
Ce positionnement ne constitue en rien une droitisation de ma position, ne parlant pas non plus au nom de ma formation politique qui se réclame de l'indépendance vis à vis des deux grands partis. J'ai opéré ce choix en confrontant deux visions différentes pour notre canton, celle de l'immobilisme, et celle du changement et du renouveau.
Mon positionnement, pragmatique, n'engage que moi, non pas dans une démarche de rapprochement partisan, mais parce que j'ai senti davantage le souci de l'intérêt général chez Jean-Marie Massias, qui se veut dans ce scrutin au dessus des clivages traditionnels pour faire sortir notre canton d'Aubuson de l'ornière.
Charge à mes électeurs que je remercie encore pour le courage de leur investissement vis à vis de ma personne, de choisir librement.
lundi 21 mars 2011
Bilan de premier tour : Remerciements.
A l'heure du bilan de ce premier tour des élections cantonales, je voudrais avant tout remercier Liliane Lenoble de m'avoir accompagné durant cette très belle aventure, cette première campagne électorale que j'ai traversée avec beaucoup de plaisir.
Merci également à tous les électeurs qui m'ont accordé leur suffrage, et leur confiance dans le projet politique que nous avons porté et présenté.
Ce score de 10,14 % est à mes yeux une belle satisfaction, car sur la base de nos résultats aux dernières régionales, je ne l'escomptais pas. Par ailleurs, nous faisons plus que tripler le résultat obtenu par Jean-Marie Le Guiader lors des cantonales de 2004.
Ce score, sensiblement analogue a celui réalisé par Alain Gribet à l'occasion des législatives de 2007 permet à notre mouvement de retrouver ses niveaux historiques d'une part, et d'autre part récompense le travail de terrain, et le travail de fond réalisés par toute l'équipe de la jeune fédération creusoise, donnant du crédit à la démarche entreprise il y a dix huit mois maintenant. Notre Mouvement, s'il poursuit son implantation, peut tenir le rôle d'alternative qu'il aspire à avoir un jour.
Merci à Aurore, ma compagne, pour son soutien permanent et sa confiance. Une démarche de qualité ne peut se mener que si l'on évolue dans un environnement serein et sain, ce qu'Aurore m'a offert. Merci à ma fille, Emma, pour sa fraîcheur et ses sourires si réconfortants.
Merci à ma famille pour le soutien affiché. Merci à toute l'équipe qui m'a entouré, encouragé, guidé et porté : Eric, Nathalie, Jean-Pierre, Jacques, Sylviane, Evelyne, Martine, Bruno, et bien d'autres encore.
Merci à la Fédération Nationale des Jeunes Démocrates pour le soutien affiché lors de cette campagne. Merci à Thierry Belin pour son soutien logistique.
Merci à tous ceux qui ont cru en moi, en le projet qui a été travaillé et porté devant les électeurs, un projet de qualité, résolument humaniste, qui visait à préparer et construire la Creuse de Demain, celle de nos enfants et de nos petits enfants.
Cette élection cantonale était ma première expérience en solo ; j'en garderais un indéfectible souvenir, de formidables rencontres dans chaque commune que j'ai traversée, des réunions constructives menées avec mes concitoyens dont j'ai pu davantage encore mesurer les besoins et les attentes.
Mon amour pour mon canton et la Creuse en sort indiscutablement conforté.
Je ne retiendrai que des choses positives de cette campagne que j'ai voulu mener de la façon la plus honnête et la plus intègre qui soit, dans le respect de mes convictions profondes et des valeurs qui m'habitent. Je retiendrai à ce titre l'exemple et les encouragements d'Alain Gribet , un homme de consensus et de grande qualité, à qui je tiens à rendre hommage aujourd'hui.
Notre démarche d'indépendance, démocrate, qui se veut rassembleuse, qui veut aller au delà des clivages partisans et du sectarisme politique trouve de plus en plus raisonnance dans l'esprit des gens ; je l'ai constaté sur le terrain. Elle met en avant la nécessité de consensus sur les sujets prioritaires qui réclament la concorde des uns et des autres, nos vieilles querelles intestines nous ayant conduit à l'immobilisme. Je crois en ces valeurs, je crois en la Creuse, celle d'aujourd'hui, celle de Demain.
J'ai confiance en notre avenir.
Parce que Demain s'écrit déjà aujourd'hui, je tiens à préciser que ma démarche n'est en rien ponctuelle, que je compte continuer à m'investir dans les débats locaux, me battre pour la Creuse, les Creusoises et les Creusois ! Vos encouragements n'étant pas étrangers à cette décision, et parce que je ne veux ni décevoir ni tromper ceux qui ont eu le courage de porter leur suffrage sur mon nom.
Bien sûr j'imagine tout à fait que l'on attend de moi le positionnement que j'adopterai dans le cadre du deuxième tour. A ce titre, une communication officielle sera effectuée dans moins de 48 heures.
L'important pour moi étant d'abord de remercier tout ceux qui ont suivi cette campagne, et m'ont accompagné jusqu'au bout. Encore merci à toutes et à tous !
Merci également à tous les électeurs qui m'ont accordé leur suffrage, et leur confiance dans le projet politique que nous avons porté et présenté.
Ce score de 10,14 % est à mes yeux une belle satisfaction, car sur la base de nos résultats aux dernières régionales, je ne l'escomptais pas. Par ailleurs, nous faisons plus que tripler le résultat obtenu par Jean-Marie Le Guiader lors des cantonales de 2004.
Ce score, sensiblement analogue a celui réalisé par Alain Gribet à l'occasion des législatives de 2007 permet à notre mouvement de retrouver ses niveaux historiques d'une part, et d'autre part récompense le travail de terrain, et le travail de fond réalisés par toute l'équipe de la jeune fédération creusoise, donnant du crédit à la démarche entreprise il y a dix huit mois maintenant. Notre Mouvement, s'il poursuit son implantation, peut tenir le rôle d'alternative qu'il aspire à avoir un jour.
Merci à Aurore, ma compagne, pour son soutien permanent et sa confiance. Une démarche de qualité ne peut se mener que si l'on évolue dans un environnement serein et sain, ce qu'Aurore m'a offert. Merci à ma fille, Emma, pour sa fraîcheur et ses sourires si réconfortants.
Merci à ma famille pour le soutien affiché. Merci à toute l'équipe qui m'a entouré, encouragé, guidé et porté : Eric, Nathalie, Jean-Pierre, Jacques, Sylviane, Evelyne, Martine, Bruno, et bien d'autres encore.
Merci à la Fédération Nationale des Jeunes Démocrates pour le soutien affiché lors de cette campagne. Merci à Thierry Belin pour son soutien logistique.
Merci à tous ceux qui ont cru en moi, en le projet qui a été travaillé et porté devant les électeurs, un projet de qualité, résolument humaniste, qui visait à préparer et construire la Creuse de Demain, celle de nos enfants et de nos petits enfants.
Cette élection cantonale était ma première expérience en solo ; j'en garderais un indéfectible souvenir, de formidables rencontres dans chaque commune que j'ai traversée, des réunions constructives menées avec mes concitoyens dont j'ai pu davantage encore mesurer les besoins et les attentes.
Mon amour pour mon canton et la Creuse en sort indiscutablement conforté.
Je ne retiendrai que des choses positives de cette campagne que j'ai voulu mener de la façon la plus honnête et la plus intègre qui soit, dans le respect de mes convictions profondes et des valeurs qui m'habitent. Je retiendrai à ce titre l'exemple et les encouragements d'Alain Gribet , un homme de consensus et de grande qualité, à qui je tiens à rendre hommage aujourd'hui.
Notre démarche d'indépendance, démocrate, qui se veut rassembleuse, qui veut aller au delà des clivages partisans et du sectarisme politique trouve de plus en plus raisonnance dans l'esprit des gens ; je l'ai constaté sur le terrain. Elle met en avant la nécessité de consensus sur les sujets prioritaires qui réclament la concorde des uns et des autres, nos vieilles querelles intestines nous ayant conduit à l'immobilisme. Je crois en ces valeurs, je crois en la Creuse, celle d'aujourd'hui, celle de Demain.
J'ai confiance en notre avenir.
Parce que Demain s'écrit déjà aujourd'hui, je tiens à préciser que ma démarche n'est en rien ponctuelle, que je compte continuer à m'investir dans les débats locaux, me battre pour la Creuse, les Creusoises et les Creusois ! Vos encouragements n'étant pas étrangers à cette décision, et parce que je ne veux ni décevoir ni tromper ceux qui ont eu le courage de porter leur suffrage sur mon nom.
Bien sûr j'imagine tout à fait que l'on attend de moi le positionnement que j'adopterai dans le cadre du deuxième tour. A ce titre, une communication officielle sera effectuée dans moins de 48 heures.
L'important pour moi étant d'abord de remercier tout ceux qui ont suivi cette campagne, et m'ont accompagné jusqu'au bout. Encore merci à toutes et à tous !
samedi 12 mars 2011
Michel Moine, quand Mme Lenoble vous emm....
Ah, comment définir la bassesse d'attaques qui éludent le débat politique local. J'ai déjà eu l'occasion de m'en émouvoir dans un commentaire prcédent. La bave du crapaud est décidément bien toxique.
Michel Moine, à quelle occasion parlez-vous de votre projet pour Aubusson, pour le canton, pour le département. Certainement pas lors de vos réunions, où dans un de ces monologues dont vous avez le secret vous barbez la maigre assistance composée majoritairement de vos fidèles d'un bilan certes correct, mais loin d'être glorieux. Quand parlez-vous d'avenir, de vision ??? Vous aurez un jour à répondre devant l'histoire...
Je note que vous prenez le soin de me lire. Peut-être y trouverez vous l'inspiration ? Celle-là même qui vous manqua cruellement à l'heure d'intervenir à l'occasion du Conseil Public organisée par la CPAM sur la démographie médicale. Un homme si pré-occupé par l'avenir du canton aurait pu intervenir verbalement sur le sujet. Pour ma part, je l'ai fait....
Je vous aurais également voulu auprès des Jeunes Agriculteurs ce Jeudi après-midi pour être à l'écoute de leurs besoins. Etrangement, vous étiez absent. Fort dommageable.
Et le message de votre circulaire ?? Celle-là même que la commission de propagande (oui vous étiez absent une fois de plus. J'étais seul à être présent lors de sa réunion) a failli récuser pour une absence de conformité dont j'ai eu l'occasion de préciser qu'elle était ridicule et ne rentrait pas en compte dans le débat politique... Monsieur le Maire, quelle manque de rigueur dans le choix de vos couleurs....
Enfin votre message me paraît bien terne...
Quant à Mme Lenoble, ses racines locales sont moins ancestrales que les votres, disposant de famille sur le canton au cas où vous l'ignoreriez.
Je vais donc perdre de ce temps précieux pour vous expliquer son choix.
Au départ, ma suppléante devez être une jeune dame ayant une activité commerciale à proximité d'Aubusson, mais qui par crainte pour son activité préféra se rétracter, ce que je comprends parfaitement lorsque je vois les méthodes d'intimidation que vous employez.
Liliane Lenoble, militante historique de l'UDF, est une femme charmante que j'ai eu l'occasion de rencontrer il y a deux ans et pour qui j'ai eu un coup de coeur eu égard à son dynamisme (je voudrais bien vous y voir à son âge), sa foi, sa connaissance du terrain, du canton, des problématiques agricoles. Sollicitée, et n'ayant rien à perdre sur cette campagne, elle accepta de m'accompagner dans cette démarche.
Loin d'être un faire valoir, ne se jugeant pas photogénique, elle refusa poliement d'apparaître en image. Cela se respecte et ne décrédibilise en rien notre message politique que vous aurez eu l'occasion de lire avec attention et qui sans doute vous inspirera dans le futur...
Je vous assure que Liliane Lenoble ne fait pas son âge, elle a encore suffisament d'énergie pour vous dire publiquement et en tête à tête qu'elle vous emm...
A bon entendeur.... Ou lecteur...
Michel Moine, à quelle occasion parlez-vous de votre projet pour Aubusson, pour le canton, pour le département. Certainement pas lors de vos réunions, où dans un de ces monologues dont vous avez le secret vous barbez la maigre assistance composée majoritairement de vos fidèles d'un bilan certes correct, mais loin d'être glorieux. Quand parlez-vous d'avenir, de vision ??? Vous aurez un jour à répondre devant l'histoire...
Je note que vous prenez le soin de me lire. Peut-être y trouverez vous l'inspiration ? Celle-là même qui vous manqua cruellement à l'heure d'intervenir à l'occasion du Conseil Public organisée par la CPAM sur la démographie médicale. Un homme si pré-occupé par l'avenir du canton aurait pu intervenir verbalement sur le sujet. Pour ma part, je l'ai fait....
Je vous aurais également voulu auprès des Jeunes Agriculteurs ce Jeudi après-midi pour être à l'écoute de leurs besoins. Etrangement, vous étiez absent. Fort dommageable.
Et le message de votre circulaire ?? Celle-là même que la commission de propagande (oui vous étiez absent une fois de plus. J'étais seul à être présent lors de sa réunion) a failli récuser pour une absence de conformité dont j'ai eu l'occasion de préciser qu'elle était ridicule et ne rentrait pas en compte dans le débat politique... Monsieur le Maire, quelle manque de rigueur dans le choix de vos couleurs....
Enfin votre message me paraît bien terne...
Quant à Mme Lenoble, ses racines locales sont moins ancestrales que les votres, disposant de famille sur le canton au cas où vous l'ignoreriez.
Je vais donc perdre de ce temps précieux pour vous expliquer son choix.
Au départ, ma suppléante devez être une jeune dame ayant une activité commerciale à proximité d'Aubusson, mais qui par crainte pour son activité préféra se rétracter, ce que je comprends parfaitement lorsque je vois les méthodes d'intimidation que vous employez.
Liliane Lenoble, militante historique de l'UDF, est une femme charmante que j'ai eu l'occasion de rencontrer il y a deux ans et pour qui j'ai eu un coup de coeur eu égard à son dynamisme (je voudrais bien vous y voir à son âge), sa foi, sa connaissance du terrain, du canton, des problématiques agricoles. Sollicitée, et n'ayant rien à perdre sur cette campagne, elle accepta de m'accompagner dans cette démarche.
Loin d'être un faire valoir, ne se jugeant pas photogénique, elle refusa poliement d'apparaître en image. Cela se respecte et ne décrédibilise en rien notre message politique que vous aurez eu l'occasion de lire avec attention et qui sans doute vous inspirera dans le futur...
Je vous assure que Liliane Lenoble ne fait pas son âge, elle a encore suffisament d'énergie pour vous dire publiquement et en tête à tête qu'elle vous emm...
A bon entendeur.... Ou lecteur...
dimanche 6 mars 2011
L'impuissance et l'athéisme ont ceci de commun qu'ils conduisent tous deux à la provocation.
Oui, la provocation, l'arme préférée d'un Michel Moine en perte de vitesse qui n'a d'autre alternative que d'en user et d'en abuser, prouvant sa superficialité afin de faire réagir momentanément les gens (Danielle Arbid). Un véritable aveu d'impuissance. De là à dire que Michel Moine est impuissant, il n'y a qu'un pas que le raisonnement inductif franchirait allègrement ; mais je ne m'aventurerais pas sur ce terrain là...
Alors oui, Michel Moine dispose de cette liberté de provoquer, comme moi, celle d'objecter (Bernard Pivot). Mais à quoi bon sinon de perdre du temps et d'éluder les vrais questions, les débats de fond qui concernent cette élection cantonale.
Le provocateur est un dénonciateur qui cherche à susciter la réaction afin d'en profiter (Ylipe) odieusement. Mais quel procédé éhonté, trahissant la faiblesse d'un discours érodé, serment creux et vide de sens concret.
Michel Moine est un provocateur habile qui ne manque pas de talent. Sa plume est aussi riche que les plaidoyers de son bilan sont pauvres. Le talent n'est pas inné, il se travaille, s'entretient quotidiennement.Cet art de la provocation rhétorique dont dispose Mr Moine est le fruit d'un vrai labeur. Mais la provocation, si bien travaillée, quand elle est voulue, n'a pas gand intérêt (Max Monnehay).
Alors à quoi bon berner les gens en s'astreignant à répondre à ses pitreries granguinolesques qui ne satisferont que ceux qui n'ont rien d'autre à faire qu'à se sustenter du parfum de scandale d'habitude dévolu aux tabloïds.
Je ne tomberais pas dans ce jeu là pour satisfaire la mégalomanie d'un homme qui doit prodigieusement s'ennuyer et être en mal d'imagination pour tomber si bas ; à un niveau où je n'aurais pas cru qu'il chuterai : celui du caniveau.
Oui, je suis déçu par le politique que je croyais ambitieux, animé par la flamme, et dont les gesticulations trahissent davantage la crainte et l'absence de sérénité que la certitude. Peur et vanité.
Celui qui passe davantage de temps à se justifier qu'à proposer doit certainement avoir beaucoup sur la conscience à se faire pardonner...
L'homme est si faible par nature, excusons le. Mais parce que Michel Moine est un homme, alors il est aussi dans sa nature d'être faible. Dommage qu'il n'y ait que lui qui ne le sache pas...
Alors oui, Michel Moine dispose de cette liberté de provoquer, comme moi, celle d'objecter (Bernard Pivot). Mais à quoi bon sinon de perdre du temps et d'éluder les vrais questions, les débats de fond qui concernent cette élection cantonale.
Le provocateur est un dénonciateur qui cherche à susciter la réaction afin d'en profiter (Ylipe) odieusement. Mais quel procédé éhonté, trahissant la faiblesse d'un discours érodé, serment creux et vide de sens concret.
Michel Moine est un provocateur habile qui ne manque pas de talent. Sa plume est aussi riche que les plaidoyers de son bilan sont pauvres. Le talent n'est pas inné, il se travaille, s'entretient quotidiennement.Cet art de la provocation rhétorique dont dispose Mr Moine est le fruit d'un vrai labeur. Mais la provocation, si bien travaillée, quand elle est voulue, n'a pas gand intérêt (Max Monnehay).
Alors à quoi bon berner les gens en s'astreignant à répondre à ses pitreries granguinolesques qui ne satisferont que ceux qui n'ont rien d'autre à faire qu'à se sustenter du parfum de scandale d'habitude dévolu aux tabloïds.
Je ne tomberais pas dans ce jeu là pour satisfaire la mégalomanie d'un homme qui doit prodigieusement s'ennuyer et être en mal d'imagination pour tomber si bas ; à un niveau où je n'aurais pas cru qu'il chuterai : celui du caniveau.
Oui, je suis déçu par le politique que je croyais ambitieux, animé par la flamme, et dont les gesticulations trahissent davantage la crainte et l'absence de sérénité que la certitude. Peur et vanité.
Celui qui passe davantage de temps à se justifier qu'à proposer doit certainement avoir beaucoup sur la conscience à se faire pardonner...
L'homme est si faible par nature, excusons le. Mais parce que Michel Moine est un homme, alors il est aussi dans sa nature d'être faible. Dommage qu'il n'y ait que lui qui ne le sache pas...
vendredi 4 mars 2011
Au goût du jour...
Ah nos socialistes... Toujours prompts à donner des leçons, et à affirmer en dogme des vérités et des morales dont eux seuls ont le secret. Comme si la Vérité leur appartenait.
Mais bon cela doit sans doute venir de la purge qui se prépare dans les instances du PS, où après avoir raillé Georges 1er Frêche, dit "le raciste", Arnaud Montebourg, le justicier inquisiteur sorti de la forêt de Louhans traque désormais Jean-Noël II Guérini, dit "le gangster", dénonçant des pratiques féodales. Cette féodalité dénoncée n'est-elle pas l'échos de l'obscurantisme partisan régnant Rue de Solférino ?
Mais bon, ne nous inquiétons pas, la nuit des longs couteaux approche...
Je parlais d'obscurantisme. Justement, localement, un exemple criant. Désireux de m'instruire et étendre mes connaissances et compétences, j'ai lu le tract de notre Maire-Conseiller Général-Président de Communauté de Communes (je n'oublie rien, je crois) avec intérêt, et y ai découvert l'adresse d'un blog de campagne où je me suis empressé d'aller.
Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j'ai découvert que Michel Conchon y était encore cité comme le candidat investi par le PS sur le canton de Saint Sulpice Les Champs. Le temps se serait-il arrêté chez nos socialistes... Allo... Il y a quelqu'un ??? Dernière mise à jour : 22 Novembre. Depuis : Rien. Un désert de couleur et d'approximations...
Si si, je vous assure, allez voir. Mais ne le dîtes pas trop fort, ils pourraient s'en rendre compte.....
Mais bon cela doit sans doute venir de la purge qui se prépare dans les instances du PS, où après avoir raillé Georges 1er Frêche, dit "le raciste", Arnaud Montebourg, le justicier inquisiteur sorti de la forêt de Louhans traque désormais Jean-Noël II Guérini, dit "le gangster", dénonçant des pratiques féodales. Cette féodalité dénoncée n'est-elle pas l'échos de l'obscurantisme partisan régnant Rue de Solférino ?
Mais bon, ne nous inquiétons pas, la nuit des longs couteaux approche...
Je parlais d'obscurantisme. Justement, localement, un exemple criant. Désireux de m'instruire et étendre mes connaissances et compétences, j'ai lu le tract de notre Maire-Conseiller Général-Président de Communauté de Communes (je n'oublie rien, je crois) avec intérêt, et y ai découvert l'adresse d'un blog de campagne où je me suis empressé d'aller.
Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j'ai découvert que Michel Conchon y était encore cité comme le candidat investi par le PS sur le canton de Saint Sulpice Les Champs. Le temps se serait-il arrêté chez nos socialistes... Allo... Il y a quelqu'un ??? Dernière mise à jour : 22 Novembre. Depuis : Rien. Un désert de couleur et d'approximations...
Si si, je vous assure, allez voir. Mais ne le dîtes pas trop fort, ils pourraient s'en rendre compte.....
jeudi 3 mars 2011
Il y avait tant à dire...
Au terme d'un débat savement orchestré, et faisant la part belle à la glorification et à l'autosatisfaction du sortant au gré d'un temps de parole pour lequel équité ne rime pas avec égalité, il est difficile de tirer des conclusions, alors même que des questions d'importance non pas été abordées, au profit de sujets récurrents, aubussonno-aubussonnais : la piscine notamment.
Quid de la question sociale, de la thématique santé, de l'agriculture, de l'éducation... ???
Si le candidat que je suis reste sur sa faim et nourris une certaine frustration pour moins de 6 minutes de parole contre 20 à Michel Moine, pas sûr que l'électeur lui, en sorte satisfait... Quelle vision pour demain, quels projets, quelles ambitions au sortir de ce débat de faible niveau en l'absence de vision prospective ?
Si Michel Moine se satisfait pleinement de la politique menée en matière économique (c'est à dire rien) tout en rappellant que cette compétence de rentre pas directement dans les attributions directes du Conseil Général, je lui ai cependant rappelé qu'en la matière il cumule les fonctions de Maire, Président de Communauté de Communes, et dispose d'un adjoint vice-Président du Conseil Régional, lui laissant dès lors une réelle latitude dans le domaine économique...
Aubusson, monde des Bisounours, où tout va bien pour le Conseiller Général sortant, sauf lorsque je lui envoie que les indicateurs de santé affichés par l'ORS (Observatoire Régional de Santé), mettent en exergue que la situation économique est peu flatteuse, voire désastreuse sur le secteur d'Aubusson, sur la base de données factuelles et statistiques incontestables, laissant notre Michel Moine national sans voix mais pas sans réaction...
En débat, au Hall Polyvalent. |
Quid de la question sociale, de la thématique santé, de l'agriculture, de l'éducation... ???
Si le candidat que je suis reste sur sa faim et nourris une certaine frustration pour moins de 6 minutes de parole contre 20 à Michel Moine, pas sûr que l'électeur lui, en sorte satisfait... Quelle vision pour demain, quels projets, quelles ambitions au sortir de ce débat de faible niveau en l'absence de vision prospective ?
Si Michel Moine se satisfait pleinement de la politique menée en matière économique (c'est à dire rien) tout en rappellant que cette compétence de rentre pas directement dans les attributions directes du Conseil Général, je lui ai cependant rappelé qu'en la matière il cumule les fonctions de Maire, Président de Communauté de Communes, et dispose d'un adjoint vice-Président du Conseil Régional, lui laissant dès lors une réelle latitude dans le domaine économique...
Interpellant Michel Moine sur la situation économique. |
Aubusson, monde des Bisounours, où tout va bien pour le Conseiller Général sortant, sauf lorsque je lui envoie que les indicateurs de santé affichés par l'ORS (Observatoire Régional de Santé), mettent en exergue que la situation économique est peu flatteuse, voire désastreuse sur le secteur d'Aubusson, sur la base de données factuelles et statistiques incontestables, laissant notre Michel Moine national sans voix mais pas sans réaction...
"Avant d'acheter un tableau, construisons d'abord le mur qu'il ornera."
Quant à la cité de la tapisserie, fleuron de l'art séculaire aubussonnais qui de l'aveu de notre Maire, rendra ses lettres de noblesses à Aubusson, draînant des commandes publiques et privées massives (pour un carnet bien vide jusque là...), attirant par dizaines de milliers des touristes désireux de découvrir notre belle région, j'ai rappellé que si ce projet s'inscrivait légitimement dans le cadre de la relance de la tapisserie localement, un investissement de cette hauteur trouverait sa pertinence dans la façon dont on saura le gérer, et générer de l'activité autour. Dès lors, parler de 40.000 entrées par an, quand le musée actuel en attire à peine 20.000, cela me semble aussi prétentieux que présomptueux...
Laissons à Michel Moine la paternité de ces chiffres, et attendons que l'histoire rende son verdict.
Enfin, notre piscine, éternel sujet de discorde, transformé en Centre Aqua-Récréatif.
Si l'investissement en lui même n'est guère critiquable pour un projet de cette envergure (7,5 Millions d'Euros), il n'en demeure pas moins que les prévisions établies pour sa fréquentation apparaissent inaccessibles. Notre édile tablant sur 70.000 entrées par an, contre moins de 40.000 à l'heure actuelle...
J'ai rappellé que l'investissement se jugeait sur le besoin, et que si dans les 70.000 entrées prédites, on comptait le flot important des touristes qui déferleront sur l'Aubusson nouveau, il faudrait peut-être songer à améliorer considérablement le réseau routier pour nous rendre accessible (cela valant également dans le cadre d'un développement économique pertinent), mettant en avant nos faiblesses structurelles dans ce domaine, étayant mon propos en expliquant qu'avant d'acheter le tableau qui décorera le mur de ma maison, il faut peut-être d'abord construire le mur... A bon entendeur...
On l'aura bien compris, le désenclavement est l'une des clefs de voûte de mon programme, surtout lorsque je rappelle à l'assistance, que creusois depuis toujours, cela fait près de 30 ans que ce thème est récurrent, stigmatisant l'incapacité de nos élus, et des équipes actuelles à résoudre ce problème...
Beaucoup d'autres choses à dire, notamment sur la capacité des socialistes à demander au Gouvernement, dans l'hypothèse d'une alternance en 2012, le remboursement des 82 millions d'euros dûs par l'Etat au Département.... je n'y crois guère pour ces démiurges du verbiage superflu.
Nous regretterons également de n'avoir pas pu parler des autres communes du Canton : Saint Pardoux le Neuf, Alleyrat, Saint Marc à Frongier, Saint Amand, Saint Maixant, Saint Alpinien, Blessac, Néoux, complètement passées à l'as.
Oui, il y avait vraiment beaucoup plus à dire....
Laissons à Michel Moine la paternité de ces chiffres, et attendons que l'histoire rende son verdict.
Enfin, notre piscine, éternel sujet de discorde, transformé en Centre Aqua-Récréatif.
Si l'investissement en lui même n'est guère critiquable pour un projet de cette envergure (7,5 Millions d'Euros), il n'en demeure pas moins que les prévisions établies pour sa fréquentation apparaissent inaccessibles. Notre édile tablant sur 70.000 entrées par an, contre moins de 40.000 à l'heure actuelle...
J'ai rappellé que l'investissement se jugeait sur le besoin, et que si dans les 70.000 entrées prédites, on comptait le flot important des touristes qui déferleront sur l'Aubusson nouveau, il faudrait peut-être songer à améliorer considérablement le réseau routier pour nous rendre accessible (cela valant également dans le cadre d'un développement économique pertinent), mettant en avant nos faiblesses structurelles dans ce domaine, étayant mon propos en expliquant qu'avant d'acheter le tableau qui décorera le mur de ma maison, il faut peut-être d'abord construire le mur... A bon entendeur...
On l'aura bien compris, le désenclavement est l'une des clefs de voûte de mon programme, surtout lorsque je rappelle à l'assistance, que creusois depuis toujours, cela fait près de 30 ans que ce thème est récurrent, stigmatisant l'incapacité de nos élus, et des équipes actuelles à résoudre ce problème...
Beaucoup d'autres choses à dire, notamment sur la capacité des socialistes à demander au Gouvernement, dans l'hypothèse d'une alternance en 2012, le remboursement des 82 millions d'euros dûs par l'Etat au Département.... je n'y crois guère pour ces démiurges du verbiage superflu.
Nous regretterons également de n'avoir pas pu parler des autres communes du Canton : Saint Pardoux le Neuf, Alleyrat, Saint Marc à Frongier, Saint Amand, Saint Maixant, Saint Alpinien, Blessac, Néoux, complètement passées à l'as.
Oui, il y avait vraiment beaucoup plus à dire....
mercredi 2 mars 2011
Réunion Publique à Aubusson.
Au sortir d'un débat sur lequel nous aurons l'occasion de revenir en détails, la date de la réunion publique qui se tiendra à Aubusson a été fixée au 11 Mars prochain, et se tiendra dans la salle du Conseil Municipal en Mairie d'Aubusson, à 19 Heures.
En espérant vous y rencontrer nombreux.
En espérant vous y rencontrer nombreux.
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