A l'occasion de son meeting organisé au zénith, François Bayrou s'est montré très précis quand à ses orientations programmatiques. Mais ce dernier s'est également montré très précis quand au calendrier qu'il compte mettre en place pour la mise en oeuvre de réformes urgentes dont a besoin notre pays dans sa quête de redressement. Un engagement de taille.
La suite en images...
On comprend trés bien que François BAYROU se batte our gagner mais malheureusement pour lui il n'est pas donné favori pour être présent au second tour.
RépondreSupprimerIl faudra à l'issue du premier tour qu'il prenne position et je constate que l'UMP lui fait la danse du ventre,Valérie PECRESSE n'excluant même pas qu'il puisse être Premier Ministre de Nicolas SARKOZY.
Ce ralliement s'il devait avoir lieu marquerait la fin de la carriére politique de François BAYROU, il serait vite jetté par SARKOZY comme celui ci l'a fait pour presque tous les ralliés car il ne dialogue qu'avec lui même.
L'incertitude sur la prise de position de François BAYROU explique sa stagnation, sinon son recul dans les sondages.
De son côté François HOLLANDE va être soumis à une pression du Front de Gauche et il devra garder le cap d'une social démocratie ouverte s'il veut rassembler sur son nom au second tour une majorité de français y compris ceux qui auraient voté pour François BAYROU au premier tour.
Comme tous les candidats, François Bayrou doit se battre pour obtenir la victoire. Le statut de favori donné par les sondages demeure aléatoire. Le passé et l'histoire ont prouvé une fiabilité souvent contestable des résultats des instituts.
RépondreSupprimerLes courbes sont parfois surprenantes. Rien n'est joué !
L'ascension de Jean-Luc Mélenchon est-elle réelle ou artificielle ?
Syphonne-t-il les voies de François Hollande, peut-être pas assez à Gauche pour certains électeurs... La question est posée.
Mélenchon n'est-il pas finalement celui qui pourrait faire perdre François Hollande, en agissant comme repoussoir sur l'électorat de Centre Gauche que le leader socialiste a réussi à agréger.
Les mêmes instituts montrent en effet que l'électorat centriste, du fait de la position de Mélenchon, se retrancherait plus volontiers vers Nicolas Sarkozy...
Tout ça pour dire que nous spéculons sur des sondages pour lesquels il est facile de faire dire tout et son contraire.
La réalité de l'isoloir peut-être bien différente...